L'humain est un être si complexe...
À commencer par son cerveau puissant, mais pas habituer de vivre dans le moment présent. Dans mon second livre, je cite qu'il faut connaitre, au moins un minimum, comment fonctionne notre cerveau. Ce dernier a fait l'étude de bien des projets par différents scientifiques. Ce qui en résulte est un peu inquiétant lorsque nous désirons nous surpasser ou vivre encore en harmonie avec nous-mêmes. Tel que je l'écris en mes mots, il est conditionner à apprendre en répétant ce que nous voyons dans notre monde matériel. Enfant, c'est ainsi que nous apprenons à parler et à marcher.
Cependant, nous enregistrons aussi les croyances qui peuvent ne pas nous convenir. Nous nous en rendons pas compte tant que quelque chose dans notre vie ne vient pas perturber notre être intérieur, notre âme.
Danser sous la lumière est de prendre conscience de ce qui peut nous retenir de notre liberté intérieure.
Par introspection, lors de méditation par exemple, il faut accueillir notre vérité. Tant de gens la fuie en toute conscience et d'autres fois pas du tout. L'humain recherche le bonheur et la facilité. Aller à la rencontre de ses démons intérieurs: ses blessures, ses manques et mêmes ses rêves peut-être confrontant. Mais si nous ne les prenons par dans nos bras, de choisissons pas de grandir avec eux, notre chemin vers la lumière sera un échec. Puisque que personne ne pourra danser à votre place. Puisque que choisir la lumière est un choix propre à tous. En psychanalyse il est expliqué que certaines personnes se nourrissent de leurs propres blessures et frustrations. Pour certains, cela devient un moyen d'aller chercher l'attention et l'amour qu'ils ont besoin. Pour d'autres, en choisissant de porter le poids de leur passé, cela se fait inconsciemment, cela leurs apportent une sorte de moyen de protection face à ce qui pourrait survenir de difficile dans leurs vies.
Exemple, le fait d'être frustré constamment après tout ce qui nous arrive vient remplir une forme d'affirmation en nous même. Le but, inconscient, est de se protéger ''de se faire avoir'' une fois de plus.
Toutes les réactions possibles du caractère humain en son sens matériel, est mise en place souvent depuis notre enfance. Si nous ne prenons pas conscience de sa présence, tel un fantôme qui aurait pris possessions de notre vie, nous demeurons victime de notre passé. En fait, ce fantôme ce nomme l'égo.
Apprenez à vivre de votre âme. Non pas des croyances et du caractère que vous avez, au fil des années, construit afin de survivre à votre propre vie.
vivez là.
C'est prouvé scientifiquement que lorsque nous avons des peurs, du stress ou tous autres éléments négatifs dans nos vies, il ne reste alors que très peu d'énergie afin de créer autres choses.
Nous le voyons souvent rapidement. Nous préférons souvent relaxer que d'exécuter nos hobby ou nos passions.
Mais quand est-il de nos rêves et de ce qui nous fait vibrer? Des secrets enfouis en nous que nous pensons irréalisables?
Si nous ne nous défaisons pas de ce qui ralenti notre élan de vie, à plus grand échelle, de ce qui nous détruit, ces choses continueront de nuire à notre existence.
Combien, parmi nous, essaie de mener une vie normal tout en sachant qu'ils ne sont pourtant pas heureux, en paix ou tourmenté? C'est illusoire de penser que si nous arrivons à détourner notre attention à ce qui cause des déséquilibres en nous, s'en iront par magie.
Il y a des actions concrètes qui, parfois, doivent être entreprises afin de nous libérer de nos chaines.
D'autres-fois, par contre, ces chaines sont en nous et nous par nous-même. Pas nécessairement en lien avec notre vie au présent ou à court terme. Ils peuvent provenir de notre éducation, de souvenirs etc...
Afin de surmonter ces limitations et les négativités qui nous empêchent d'aller de l'avant sur le chemin de notre vie, il existe un moyen. Celui-ci n'est pas en nous tournant vers le monde extérieur et ces compensations, autant en matière de biens matériels que de relations personnelles où la présence des autres nous servira de bouée de sauvetage.
Le seul moyen de retrouver notre énergie est d'aller à la rencontre de ce qui entrave notre route. Par introspection/méditation, nous apprenons à calmer et à apprivoiser nos ombres. Ce n'est pas le chemin le plus facile. C'est pourquoi il est celui qui est le moins fréquenté dans la société matérialiste et loin des notions de l'âme dans laquelle nous vivons.
Pourtant, le chemin vers soi est le seul qui vous conduira vers les premières étapes de votre liberté.
De notre naissance à notre mort, nous sommes seule face à nous-mêmes.
Des personnes peuvent nous accompagner dans certains moments de notre vie. D'autres se poseront un certain temps près de nous, alors que certains nous effleurerons à peine. Un regard, un sourire ou rien du tout.
Peut importe ce que les gens peuvent nous apporter de bien ou de moins bon, il est erroné de penser que ces derniers ont le pouvoir sur notre vie. Notre liberté nous appartient. Mais également, nous ne pouvons pas demander à une autre personne de combler ou de changer notre propre vie.
S'attacher à une personne afin de se sentir plus complet ou de puiser de l'amour est illusoire. Cela n'apportera que le vide, le manque et des attentes destructives.
Faire semblant que tout va bien dans notre vie alors qu'au fond de nous, notre être profond crie à sa liberté, est aussi illusoire. Espérer que quelqu'un viendra nous sauver de notre mal-être, de notre peine ou de nos blessures, est tout aussi illusoire. Même si cette personne avait les meilleurs intentions du monde, le manque ou le déséquilibre en nous ne cessera de se faire ressentir. Le baume que l'autre posera sur notre coeur, par sa présence, ne sera que passager. C'est pour cela, d'ailleurs, que beaucoup de personnes ont si peur de se retrouver seules. C'est également pour cette raison que nous pouvons voir que certaines personnes en idolâtre une autre. C'est une sorte de baume sur notre manque. Sur ce que nous su acquérir au plus profond de notre coeur.
Choisir de vivre l'unité en soi et de grandir sur le chemin de la conscience est un choix, un libre arbitre. Ce choix est un pas vers l'autonomie psychique et émotionnel. Il permet une connexion à notre âme, notre monde intérieur. De cette façon, nous devenons plus complet en nous-même, alors, moins dépendant des autres.
Le réel partage entre les êtres humains serait, je le crois, plus authentique, sans attentes et sans non-dit. Nous cesserions de nous servir des autres. De les utiliser afin de répondre, entres autres: à notre paraître, à notre égo, notre besoin d'être reconnu et apprécié etc...
Il est, selon moi, important de développer notre présence à et en nous-mêmes. Cette présence n'est pas illusoire. C'est nous au coeur de l'essence de notre vie. Et à notre mort, je crois que c'est uniquement cette présence que nous conserverons; notre âme.
Nous cherchons tellement à être aimé, respecté et compris.
Mais à quel prix, de notre propre énergie et intégrité, sommes-nous prêt à investir afin d'en arriver à être reconnu et accepté pour qui nous sommes réellement? Le pire, rien n'assure qu'il en sera ainsi après tant d'effort et de justification.
Nous avons tous tendance à rechercher ce qui manque en nous; à l'extérieur de soi. C'est un peu normal puisque nous avons été habitué, dès notre jeune âge, à se percevoir soi-même en utilisant le regard que les autres personnes portent sur soi. En commençant par celui de nos parents.
Nous nous sommes conditionné à aller ''chercher'' ce qui manque à notre équilibre émotionnel et psychique, dans l'approbation des autres. Où dans la consommation de bien matériel. Pourtant, ceux qui ont tenté de marcher sur cette voie se sont vite rendu compte, qu'à part nous bercer d'illusion, cela ne donne rien d'y laisser sa peau, son argent, son équilibre mental et physique.
Alors, ce qui nous empêche parfois d'accéder à une réelle liberté émotionnel c'est notre besoin de reconnaissance et d'amour. Qui dit amour pourtant, n'est pas supposé employer de propos ni des gestes abusifs, accusatifs et malsains. Dans certaines situations, avec certaines personnes, la réaction peut être instantané. Nous ne nous laissons pas marcher sur les pieds et n'acceptons pas d'être jugé à tord. Cependant, lorsque les situations sont en lien direct avec des personnes plus près de nous, plus près qu'une connaissance de passage, nous nous battons avec tout notre coeur, afin d'espérer d'eux, un peu d'amour.
De plus, nos réseaux sociaux sont bien garni en besoin de cette attention. Pourtant, combien de personnes, présentent sur le web, ne font que passer. ''Aiment'' sans vraiment y porter une attention profonde ou encore, prends ce qu'ils désirent de ce que les autres osent montrer de leur vie privé. Combien ne sont là que pour faire la promotion de leur petit paraitre, de certains projets, de leur image sans être authentique et vraiment présent aux autres personnes.
La seule réalité et la seule liberté que nous pouvons nous offrir est de vivre loin des attentes extérieures. Loin des illusions. Mais plutôt de devenir automne de notre propre amour et présence.
Être en extase devant un Dieu ou une personne fait aussi parti d'une grande illusion. Cela n'est en fait qu'un baume sur une plaie. Et il n'en restera qu'un grand vide sans fin. La plus riche des présences que nous pouvons vous offrir est la notre.Prendre soin de soi, poser nos limites et rechercher l'unité.
Au lieu de chercher éperdument l'amour des autres, serions-nous pas plus avantageux d'apprendre à nous aimer nous-mêmes? Être bien en silence avec notre propre présence?
Être doux envers soi-même. Compréhensible de nos limites et dans l'acceptations de nos blessures, nos manques et de nos rêves pas encore réalisés.
Sur mon dernier podcast, je désirais vous démontrer combien nos émotions sont étroitement liées à nos pensées ainsi qu'à notre passé.
En parlant de passé, les jours entre Noël et le jour de l'an, sont pour moi, issus d'un autre monde.
Derrière, il y a une année qui se termine. Devant, une nouvelle qui fait lentement son arrivée en notre monde.
Elle peut apporter, pour certains, espoir en la réalisation de rêves, trop longtemps enfoui au fond de leur coeur. Pour d'autres, être source d'incertitude.
Pourtant, chaque matin est un choix. Chaque pensée créatrice est une transition entre un ancien soi et une nouvelle façon d'ÊTRE.
Tout moment est une opportunité à décider comment nous allons vivre notre vie. Choisir les nouvelles actions à mettre de l'avant pour faire de notre vie, un reflet plus juste de notre être profond. De notre âme en rapport avec sa réalisation physique par notre corps.
Créer la lumière ou je dirais plutôt, créer l'effet de la lumière.
L'humain, dans sa complexité, peut avoir parfois d'étrange comportement. Comportement d'une part, envers les autres, mais avant tout envers lui-même.
Nous avons tous nos blessures et nos limites. Pour beaucoup d'entre nous, nos vies sont bien rempli en responsabilité de toute sorte (travail, famille). Parfois, il nous arrive même de nous sentir dépassé par les évènements. Tout se bouscule et semble aller trop vite.
Nous espérons, à un moment donné, pouvoir reprendre notre souffle et ainsi disposer de plus de temps afin de vivre autre chose que les ''il faut faire'' que nos quotidiens nous impose.
Pourtant, c'est nous qui détenons les ficelles de notre vie. J'ai réalisé un jour, par la lecture d'un livre de Guy Finley, que j'avais mis la faute de mes insatisfactions sur le compte de la vie. Pendant tout ce temps, je ne me permettais pas d'être ce qui vibrait pourtant tout au fond de moi. Pire, j'attendais que l'extérieur, les gens et les choses, comblent mes manques.
''Si tes lacets sont attaché trop serré, rappelle-toi qui les a attaché''.
Guy Finley, tiré de son livre: Lâcher prise, la clef de la transformation intérieure.
Finley, par la lecture de son livre, surtout par cette phrase, m'avait aidé à conscientiser certains comportements dont je ne croyais pas être responsable. Ces comportements m'apportaient de l'inconfort dans ma vie au quotidien. Comme bien des gens, je croyaient que ces derniers étaient normal et qu'ils faisaient partie de la vie ''normale'' d'un adulte et même de la société. Guy Finley m'avait aidé à me réapproprier mon pouvoir de détacher mes souliers et de me ''laisser du lousse'', expression québécoise. Entre d'autres mots, me laisser de la latitude pour choisir et agir là où ma vie physique n'était pas en résonnance avec ce que je voulais réaliser avec mon coeur.
Donc, suite à la lecture de son livre, j'ai compris que j'avais, néanmoins, une certaine liberté de choisir plusieurs actions et réalités concrètes de ma vie. Si j'avais entretenue des croyances malsaines, une vie rempli de stress et d'obligations, c'est en fait que j'avais ma part de responsabilité face à leur présence dans ma vie.
Créer la lumière est pour moi dans cet article, la capacité de placer dans nos vies des moments heureux. Des moments dans lesquels nous pouvons vivre d'une façon différente. Dans un moment où nous pouvons nous déposer et cesser, enfin, notre course effrénée contre la vie. Pour que cela soit possible, il faut dans un premier temps faire de la place, permettre un espace entre notre soi profond et notre vie physique, afin de pouvoir y créer ce qui nourrit notre être. Un ménage, au niveau des croyances familiales et sociétaires, devient souvent indispensable pour pourvoir vivre autrement.
Créer la lumière c'est avoir la capacité de reconnaitre la beauté qui se trouve autour de nous. Sortie des cancans négatifs que porte notre société. Par dessus tout, c'est cesser de croire que le beau et le bon nous seront toujours offert, comme par magie, sur un plateau d'argent. Et que pendant ce temps, nous acceptions de n'être présent à rien.
Créer la lumière c'est prendre conscience qu'il faille cesser d'attendre de l'extérieur. C'est reconnaitre que nous sommes responsable de notre équilibre. Et surtout, créer c'est utiliser le pouvoir, que nous avons tous en notre âme, de créer du beau et du bon si ces derniers ne se présentent pas facilement dans nos vies.
Allez, maintenant, faites de votre vie des instants de magie, de beauté et de choix.
Nous courons, mille choses à faire entre le travail, la famille, les amis et les obligations.
Est-ce que vous vous êtes rendu compte que pendant ce temps, le temps semble nous glisser entre les doigts. Il semble même parfois se moquer de nous, une sorte de jeux de cache-cache sans que nous ayons connu et accepté les règles.
Si nous ne prenons pas le temps de reprendre notre souffle dans toute cette agitation, lui, le temps, il nous ne perd pas de vue. Il passe et se moque bien de ce que nous faisons de lui et avec lui.
Il sera trop tard dans 50 ans pour se rendre compte que nous n'avons pas pris un instant permettant de se sentir vivant au lieu de survivre simplement à notre propre vie.
Pour moi, qui a connu la mort de près, il m'ait essentiel maintenant de prendre le temps de remarquer la vie autour de moi. De rejoindre un état de paix en moi afin que je puisse poser mon regard et ressentir en mon âme, un rayons de soleil ou un sourire.
Où encore. porter l'oreille à un passage musical et y être présente afin que ce dernier me permettre de faire un beau voyage intérieurement.
Où sommes-nous?
Dans nos têtes, loin de notre âme et du moment présent.
Le seul moment qui ne joue pas à cache-cache avec notre vie.
Et puis, demain, allez-vous faire une toute petite place à un moment simple, mais ô combien important et magique dans votre vie?
Allez-vous développer la qualité de votre propre présence en votre existence?
Parfois l'infini peut nous paraître si près.
En réalité, elle l'est.
Nous sommes tellement pris par nos obligations et ce qui nous tourmente.
Pris, également, dans plein de distractions qui nous retiennent hors du moment présent.
Pour percevoir l'infini, le corps et le mental doivent cesser d'être agiter.
À cet instant, seulement, l'âme pourra percevoir l'infini.
Pour que cela soit possible, il faut également être en paix à l'intérieur de soi.
Parvenir à lâcher prise et à nous détacher de ce qui nous attire vers le bas.
L'état lumineux, léger et serein commence avant tout par un cheminement de soi vers soi-même.
C'est un choix de vouloir élever notre conscience au dessus de nos ombres et celles que la société véhiculent.
C'est aussi un choix de revenir à l'essentiel. De savoir encore, dans ce monde matérialiste, apprécier les choses simples. Qui sont en fait, les seules vérités sur terre.
C'est également un choix de poser notre attention sur les belles choses, les belles actions, la douceur, le respect, l'amour et l'authenticité.
Nous pourrions dire alors que l'infini est une sorte de synonyme au terme de la lumière. C'est délaisser les valeurs, les vibrations négatives et malsaines afin de placer dans nos vie une autre réalité, celle de l'âme et du coeur.
Tout comme la musique, la nature est depuis mon enfance, un refuge.
J'ai besoin des grands espaces pour me recentrer et me ressourcer. J'ai besoin de la contempler et de laisser battre mon coeur au rythme de ce qu'elle vit.
J'ai besoin d'être présente aux changements de saisons afin d'être témoin de chaque moment de magie qu'elle créée.
Pour moi, cela consiste à vivre d'une façon différente; celle de ressentir la vie à un niveau primordial.
Ce qui est naturel et authentique.
La nature est la plus grande vérité qui soit.
Pratiquer la photographie me permet de capter ces instants de magie. Ces instants, si subtils, ne sont plus rechercher par la plupart des gens.
Ils sont pour moi des fragments d'infini dont je peux saisir en image afin de les partager par la suite.
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